jeudi 31 décembre 2015

Je suis tout ce qui est par Isabelle Padovani

Une petite vidéo pour terminer l'année en beauté, 
et en espérant une nouvelle année au plus proche de "qui je suis"...
et quand je dis "je" c'est pour "nous" bien sûr...
Avec toute ma tendresse.
Pascale


 https://www.youtube.com/watch?v=gCCrnKs7m7U

 Souvenir de la neige, qui se fait désirer...

mardi 17 novembre 2015

Le chant des libres de Marc Vella



Fidèle à lui-même, le libre ne trahit pas son âme. Quoi qu'il arrive, il aime, sans attente, conscient des miracles que chaque instant lui livre. Il va, souverainement confiant et bienveillant, affranchi du regard des autres, bâtissant, en les magnifiant sans cesse, ses rêves et ses désirs. Responsable de son bonheur, il n'attend pas le printemps pour s'ouvrir à la vie et être heureux, il est le printemps...
Ce petit livre est une invitation à l'émerveillement perpétuel, un rendez-vous avec l'abandon menant à l'abondance.
Il est un hymne à la joie, un appel à lâcher prise avec un monde qui a emprisonné l'amour et laissé la peur en liberté.

Un très beau petit livre, avec des calligraphies magnifiques de Bernard Camus et un texte non moins magnifique. Je l'ai découvert par hasard, (le hasard c'est la main de Dieu posée sur notre main, comme dirait Christian Bobin et j'y crois dur comme fer!), sur une étagère de ma librairie préférée, la Librairie des Arts à Annecy.

Extraits:
A ceux qui aiment aimer, tout est révélé.
Oui, soyons amour avec tout, car tout est dans tout, rien n'est séparé.
Des ténèbres à la lumière, tout est sacré.


mardi 15 septembre 2015

Le bonheur...

Le bonheur ne se trouve pas

avec beaucoup d'effort et de volonté

mais réside là, tout près,

dans la détente et l'abandon.

Ne t'inquiète pas, il n'y a rien à faire.

-

Tout ce qui s'élève dans l'esprit

n'a aucune importance

parce que n'a aucune réalité.

-

Ne t'y attache pas.

Ne te juge pas.

-

Laisse le jeu se faire tout seul,

s'élever et retomber, sans rien changer,

et tout s'évanouit et recommence à nouveau sans cesse.

-

Seule cette recherche du bonheur nous empêche de le voir.

-

C'est comme un arc-en-ciel

qu'on poursuit sans jamais le rattraper.

Parce qu'il n'existe pas, qu'il a toujours été là

et t'accompagne à chaque instant.

-

Ne crois pas à la réalité des expériences bonnes ou mauvaises,

elles sont comme des arc-en-ciel.

-

A vouloir saisir l'insaisissable, on s'épuise en vain.



Dès lors qu'on relâche cette saisie,

l'espace est là, ouvert, hospitalier et confortable.

-

Alors profites-en. Tout est à toi, déjà.

-

Ne cherche plus.

Ne va pas chercher dans la jungle inextricable

l'éléphant qui est tranquillement à la maison.

-

Rien à faire

Rien à forcer

Rien à vouloir

Et tout se fait tout seul.



Lama Guendune Rinpoché



vendredi 4 septembre 2015

La spiritualité c'est l'indépendance par Swami Prajnanpad

La spiritualité c'est un autre nom pour l'indépendance.

Dépendre de quelqu'un ou de quelque chose c'est s'éloigner du bonheur. Quand vous êtes dans un état de dépendance, vos mouvements sont limités, vous restez confinés dans un espace étroit. Si vous êtes esclaves de vos désirs, vous ne pouvez pas être heureux et libres. Votre bonheur dépend de la satisfaction de vos désirs, ce qui est souvent impossible et vous fait souffrir. Mais si vous êtes maître de vos désirs, vous pouvez les satisfaire quand c'est possible, les réfréner s'il n'y a pas de possibilité de les satisfaire, et ainsi vous serez heureux.

La spiritualité est une attitude d'esprit, ne dépendre que de soi, c'est cela la spiritualité.

Essayez de voir et de sentir ce qui est et non d'attendre que les choses soient comme vous aimeriez qu'elles soient. Cette attente est la tragédie de la vie humaine.

(Extrait de l'émission des Racines du Ciel du 25 mai 2010 avec Arnaud Desjardins)


L'émission à écouter:
http://www.franceculture.fr/emission-les-racines-du-ciel-la-transformation-de-soi-avec-arnaud-desjardins-rediffusion-de-l-emissi


dimanche 10 mai 2015

Ombre et lumière...

Au lieu d'accompagner mes aînés sur le chemin de la révolte, la sagesse me conseille de m'en remettre pour toujours à un pays. De lui, d'une maison, d'un cimetière reconnu chaque matin derrière une fenêtre, d'une tour, d'un clocher, d'une perspective, je reçu le droit de vivre sans nourrir de vaines espérances. Alors qu'enfant je désespérais de voir s'évanouir l'été, j'accueillis, jeune fille, toutes les saisons avec une égalité d'humeur qui étonna mon entourage. Les orages et les tempêtes, après m'avoir effrayée, me devinrent aussi nécessaires que le calme des belles journées ; leur violence apaisait la mienne.

Un jour de promenade, alors que j'observais la nature autour de moi, le jeu de l'ombre et de la lumière me renvoya à celui du bien et du mal. Où se disait l'un, où se déclarait l'autre ? Qui connaissait les règles de ce jeu-là ? Dès lors, je me méfiais des gens vertueux, de leurs bontés, de leurs services. Comme la mère qui protège l'enfant disgracié, je me rapprochai du mal auquel je trouvais des excuses et une utilité ; celle de mettre en valeur le bien. Il m'arriva même de le préférer au bien ou à ce qu'on me présentait comme tel. Le sentier qui menait à ma vérité, n'était pas droit, et ce n'étais pas dans les livres de théologie de mon père que je trouverais la réponse aux questions qui se posaient en moi. Je ne pouvais me fier qu'à ma bonne volonté et à mes réflexions...

« Notre séjour à Bruxelles n'aura servi à rien ! Dit Charlotte.
Je ne suis pas de cet avis. Il aura servi à nous prouver qu'il n'y a de salut qu'en nous. La paix, l'espérance et la joie sont en toi, Charlotte, nulle part ailleurs ».

Emily Bronté

 Drôme provençale en avril

dimanche 19 avril 2015

Aimer ce qui est, avec Byron Katie...

Bonjour,

Le printemps s'installe et de nouvelles propositions fleurissent.

C'est avec joie que je vous présente la venue de Byron Katie à Paris.
Comme l'année dernière, elle viendra à Bobino pour offrir une journée atelier sur The Work.
Rendez - vous le 16 juillet de 9h30 à 17h.

Le Travail : une démarche d'auto questionnement simple et radicale de nos pensées stressantes, pour mettre fin à nos souffrances et retrouver notre état naturel : la joie, la paix et l'amour.


Accessible à tous, Byron Katie invite des volontaires sur scène à vivre le Travail avec elle.

Un exemple fabuleux de ce travail à visionner ci-dessous:




mardi 24 mars 2015

J'adore:

"Ne demande jamais ton chemin
à quelqu'un qui le connaît,
car tu pourrais
ne pas t'égarer."

Rabbi Nahman de Bratslav (1772-1810)

Ellébore

lundi 23 mars 2015

Détresse...

Le désarroi dans lequel nous nous trouvons est en fait une aubaine : il témoigne de notre sensibilité. 

Ceux qui traversent la vie sans le moindre sentiment de détresse sont inconscients. 

La détresse induite par notre prise de conscience recèle un immense potentiel de transformation, un trésor d'énergie dans lequel nous pouvons puiser à pleines mains et que nous pouvons utiliser pour construire quelque chose de meilleur, ce que l'indifférence ne permet pas. 

Transcrit par Mathieu Ricard 
d’après un conseil donné oralement.
JIGME KHYENTSE RINPOCHE (b. 1964)



lundi 16 mars 2015

En quête de Sens

Bonjour,
Si vous voulez voir un film plein de sens, sincère, fait de rencontres de personnes remarquables, de paroles inspirantes, de paysages et de musiques magnifiques, un film plein d'espérance, qui m'a bouleversée, je vous conseille ce film:

lundi 16 février 2015

Regard d'enfant...

Bonjour,
voici une petite vidéo, très courte, qui nous montre bien combien nous avons perdu notre innocence d'enfant. Il est urgent de la retrouver!!!
Les enfants sont nos Maîtres...


http://www.danstapub.com/la-jolie-pub-de-leo-burnett-les-yeux-dun-enfant-face-au-handicap




vendredi 13 février 2015

Accepter




La présence inconditionnelle (suite) s'ouvrir et entrer

Parfois, Jane dérivait sur des jugements mentaux ou des histoires concernant la douleur. Il est important de ne pas être prisonnier de ces interprétations mentales ou de ces drames ("Ce sentiment est trop fort, il est plus grand que moi, il va m'avaler tout cru") car ils interfèrent dans votre rencontre avec l'expérience directe. C'est particulièrement vrai des jugements sévères ("Si je me sens si mal aimé, cela signifie que je ne suis pas quelqu'un de bien"). Je l'ai aidée à voir ces jugements comme des histoires qu'elle se racontait, puis à les mettre doucement de côté et à revenir aux sensations de son corps.

Ensuite, j'ai encouragé Jane à s'ouvrir à la sensation douloureuse de n'être pas aimée. S'ouvrir, dans ce contexte, signifie ouvrir son coeur à un sentiment, laisser complètement les sensations évoluer dans notre corps sans lutter contre elles. Après avoir passé quelque temps à s'ouvrir à ce sentiment, elle m'a dit: "Je me sens plus calme. La douleur est encore là, mais je peux la laisser exister." S'ouvrir à la douleur lui avait permis de s'y habituer, de sorte qu'elle n'était plus aussi menaçante.

Au bout d'un moment, j'ai proposé à Jane d'aller un peu plus loin, d'entrer dans la sensation du manque d'amour et de l'habiter pleinement. Entrer, signifie placer sa conscience au coeur du sentiment de façon à ne faire qu'un avec lui, ne plus le voir comme quelque chose en dehors de soi.

JW - Pouvez-vous laisser votre conscience entrer dans la douleur, comme si vous vous installiez en plein milieu?

JA - Je me sens triste et vulnérable, a répondu Jane.

JW - Oui, essayez de ne faire qu'un avec la tristesse, ne restez pas séparée d'elle. Voyez si vous pouvez vous détendre en elle.

Elle est restée silencieuse pendant quelques minutes, puis elle a dit:

La tristesse est toujours là, mais elle n'est plus aussi pesante.

Au bout d'un moment, elle s'est assise toute droite et m'a regardé.

Ca change. Je sens encore la vulnérabilité, mais il y a aussi plus de tendresse et de chaleur.

Son visage était totalement détendu et à l'évidence, elle était plus ancrée dans son corps.

JW - Que ressentez-vous à présent?

JA - C'est étrange... Il y a de la douceur, a-t-elle répondu avec un sourire hésitant.

JW - Vous sentez-vous toujours déconnectée de l'amour?

Jane a réfléchi.

- pas en ce moment.

N'étant plus focalisée sur Tom ou leur relation, Jane sentait son propre coeur, ce qui lui procurait cette douceur dans le corps. Le fait de se mettre à l'endroit du manque d'amour et de s'être ouverte à sa douleur et à sa vulnérabilité avait suscité l'amour en elle, sous la forme d'une subtile présence de douceur et de chaleur qui avait pénétré ses coins sombres. (...)

Alors quand vous vous sentez mal aimés, au lieu de chercher un remède extérieur, comprenez que c'est le signe que vous êtes déconnectés de votre propre coeur. C'est cette déconnexion qui est le poison. Vous ouvrir à la douleur de ce sentiment vous met en contact avec une certaine tendresse ou vulnérabilité; c'est le signe que votre coeur, qui a le désir naturel et la capacité de se connecter, est à portée de main. Cela vous ramène à vous-même; et c'est cela le remède à la déconnexion.. La douleur du manque d'amour est alors beaucoup plus qu'une simple douleur. C'est un cri direct de votre coeur: "Tu as perdu le contact avec moi, qui suis le sang de ton existence". (...)

Si vous fuyez la blessure, vous ne faites que lui donner plus de pouvoir sur vous. Pour finir, votre corps émotionnel se sent comme une maison abandonnée et hantée. Plus vous fuyez la douleur du manque d'amour, plus elle se renforce dans l'obscurité et plus votre maison est hantée. Plus elle est hantée, plus cela vous terrifie. C'est le cercle vicieux qui vous maintient coupé de votre être, ayant peur de vous-même.

Mais lorsque vous acceptez cette rencontre avec vous-même à l'endroit du manque d'amour, les portes et les fenêtres de la maison hantée commencent à s'ouvrir, laissant entrer le soleil et l'air frais. Peu à peu, la maison devient plus vivable. En apprenant à tolérer les sensations de douleur ou de vulnérabilité, on développe un nouveau muscle. Grâce à votre capacité grandissante de faire face à votre douleur, la blessure qui vous paraissait autrefois si énorme et vous submergeait devient tolérable.

En allant à la rencontre de vous-même à l'endroit où vous vous sentez déconnecté, il se produit quelque chose de nouveau et de fort; c'est simple et cependant radical: vous commencez à habiter en vous. Vous reprenez possession de votre coeur solitaire et le ramenez à la vie.

(Extrait de Parfait amour imparfait bonheur de John Wellwood)

Et cela est valable pour toutes les blessures (ça c'est moi qui rajoute)! C'est le processus pour accueillir ce qui se vit en nous, pour accepter, pour être un avec... pour s'aimer de plus en plus... et il n'y a qu'en s'aimant qu'on peut aimer, c'est mon expérience. Pascale






Hommage à mon arbre préféré, devant la fenêtre, je l'admire chaque jour, je le remercie de donner à ce lieu tout son charme, sa force, sa beauté, sa paix, d'accueillir avec tant de générosité les oiseaux, le vent, la pluie, le soleil, la neige...
J'ai beaucoup de gratitude pour tout ce qu'il m'apporte...

dimanche 8 février 2015

La présence inconditionnelle - reconnaître et permettre

JA - Je déteste me sentir si mal aimée
JW - Comment le ressentez-vous dans votre corps?

(Je l'ai invitée à prendre directement contact dans son corps avec sa douleur de ne pas se sentir aimée. Ce contact direct est ce que j'appelle "reconnaître". C'est la première étape qui consiste à rencontrer et habiter sa propre expérience - un processus que j'appelle la présence inconditionnelle. Ce processus peut être divisé en quatre étapes étroitement reliées: reconnaître, permettre, ouvrir et entrer. Ces étapes définissent les différents moments dans le processus d'une présence grandissance de l'expérience émotionnelle.

Reconnaître, c'est voir ce qui est là, voir que cela est, sans essayer d'estimer si c'est bon ou mauvais ou si cela devrait être ainsi ou non.C'est voir et toucher un sentiment qui est là, tel qu'il est. Dans mon travail de psychothérapeute, je me suis rendu compte que ce simple acte de reconnaissance possédait un pouvoir beaucoup plus grand que n'importe quel exercice ou analyse mentale.

JW - Comment le sentiment d'être mal aimée se manifeste-t-il en vous en ce moment?
JA - Je ressens de la douleur ici, a répondu Jane, en touchant sa poitrine.
JW - Pouvez-vous laisser la respiration toucher cette douleur? Voyez si vous pouvez simplement laisser ce sentiment exister, sans tenter de le fixer ou de le changer.

Je l'invitais ainsi à passer à l'étape suivante: permettre au sentiment d'être.

JW - Essayez d'adoucir cette zone, de soutenir la douleur avec douceur en lui laissant de l'espace, comme le ciel soutient la terre.

Permettre signifie donner à la douleur une sensation d'espace lui permettant d'exister comme elle est, tout en restant en contact avec elle.

Souvent nous contractons inconsciemment les sentiments douloureux en tentant de les écarter ou de les minimiser. Permettre est une forme de décompression: on laisse l'énergie du sentiment prendre sa véritable ampleur, sans s'identifier à lui (du genre: "cette douleur est moi, elle signifie quelque chose sur ce que je suis") ni le rejeter ("cette douleur n'est pas moi, elle ne devrait pas être là"). Lorsque Jane a pu laisser de la place à sa douleur, elle a éprouvé une sensation de soulagement immédiat, parce qu'elle ne luttait plus contre elle. Elle abordait la blessure de l'amour comme un simple sentiment humain plutôt que comme un grand mélodrame. 


Annecy sous la neige

(Parfait amour imparfait bonheur - John Welwood)

S'aimer soi m'aime...

"Chaque personne née dans ce monde représente quelque chose de nouveau, quelque chose qui n'a jamais existé auparavant, quelque chose d'original et d'unique. C'est le devoir de chaque personne... de savoir et de considérer... qu'il n'y a jamais eu quelqu'un comme elle au monde, car si cela avait été le cas, il n'aurait pas été nécessaire qu'elle soit là. Chaque personne est une nouvelle chose et est appelée à accomplir sa particularité dans ce monde. Sa tâche principale consiste à actualiser ses potentialités uniques, sans précédent et qui ne se reproduiront jamais, au lieu de répéter quelque chose qu'un autre, même le plus grand, a déjà accompli."


L'habitude de nous comparer aux autres ou de tenter d'être comme eux est l'un des plus grands obstacles à l'amour de soi. Cette préoccupation de savoir si nous sommes comme les autres, ou meilleurs ou pires qu'eux, est une façon de nous déshonorer.
(Parfait amour imparfait bonheur - John Welwood)

mercredi 4 février 2015

Projet - Pour quoi ?

Projet de forêt-jardin au lac d'Alleyrac,
d'apiculture, d'élevage de poules et d''accueil de personnes malades ou en recherche d'un nouveau souffle en pleine nature...

* * *
Pour quoi?
Pour moi

Pour être en contact avec la nature le plus possible

Pour vivre dans un rythme calme et régulier qui me permette:
- d'être en contact avec mon Être essentiel
- de m'abandonner à la Vie en conscience et confiance et continuer à développer en moi l'ouverture du coeur et le lâcher-prise
- de sentir en moi si je suis dans le courant ou si je rame à contre courant
- d'accompagner la Vie dans ce qu'elle demande, là où elle est, là où elle va
- de pratiquer pleinement  l'acceptation de ce qui est

Pour développer ma gratitude à l'égard de la Vie

Pour faire grandir l'amour dans mon coeur, l'ouverture, l'accueil de l'autre tel qu'il est, sans attente

Pour la beauté et la bonté du projet:
- planter des arbres,
- prendre soin de la terre, de moi, d'Alain, de la famille, des autres
- partager

Pour retrouver la santé

Pour faire épanouir ma créativité

Pour Alain
Pour les générations futures
Pour la terre

(Pour sauter du grand plongeoir sans savoir s'il y a de l'eau dans la piscine... et me retrouver sur le dos tout doux d'une oie sauvage, m'accrocher à ses plumes, et voler avec elle jusqu'à ce qu'elle me dépose au bord du lac... - ne jamais oublier -)   

Et aussi, pour:

La rivière sauvage - l'hiver

Le lac - l'été

Les fleurs et les papillons...

dimanche 1 février 2015

Gratitude...




Un petit être humain est venu au monde il y a 2 jours, il s'appelle Silas, ce qui veut dire "le demandé" ou "qui vient de la forêt"... Je suis sa mamée et mon coeur est rempli de gratitude, je vous partage ma joie.

vendredi 30 janvier 2015

Beauté

Un blog que je viens de découvrir, de toute beauté, que j'ai envie de vous faire connaître, qui illustre bien la parole de Christian Bobin:

La beauté vient de l'amour comme le jour vient du soleil.


La beauté des oiseaux
Pinson des arbres - (Photo de Roger Sensevy)

mardi 20 janvier 2015

dimanche 11 janvier 2015

Le message d'OSHO en ces temps difficiles

« Le terrorisme va devenir de plus en plus important tout simplement 

parce qu'une 3ème guerre mondiale est devenue impossible.

Le terrorisme ne pourra être évité que si on change la base même de la 

compréhension humaine, ce qui est une tâche immense ! Car les gens 

que vous voulez voir changer vous combattront. Ils ne vous laisseront 

pas les changer facilement.

La situation aujourd’hui est que chaque être humain a besoin de passer

à  travers des thérapies pour comprendre ses motivations inconscientes, 

chaque être humain doit découvrir la méditation pour qu’il puisse se 

calmer, se relaxer et pour qu’il puisse regarder le monde à partir d’une 

nouvelle perspective, celle du silence. » Osho



photo de Roger Sensevy

vendredi 9 janvier 2015

Devenir un agent de changement positif dans le monde

En définitive, vous ne devenez responsable de la vie qu'en assumant la responsabilité de cet instant - maintenant. Voilà pourquoi le Présent est le seul espace de vie.

Prendre la responsabilité de cet instant, c'est ne pas s'opposer intérieurement à la forme qu'adopte le Présent, ne pas discuter avec ce qui est, mais bien plutôt s'aligner sur la Vie.

Le Présent est ainsi parce qu'il ne peut en être autrement. Ce que les bouddhistes ont toujours su, les physiciens le confirment à présent: il n'y a ni objets, ni événements isolés. Sous l'apparence superficielle, tout est interrelié, tout fait partie de la totalité du cosmos, qui a suscité la forme que prend cet instant.

En acquiesçant à ce qui est, vous vous alignez sur le pouvoir et l'intelligence de la Vie même. Alors, seulement, vous pouvez devenir un agent de changement positif dans le monde.


Eckhart Tolle (L'art du calme intérieur)

photo de Roger Sensevy

Coucher de lune




Deux petits livres essentiels

"En perdant contact avec sa quiétude intérieure, c'est avec soi-même que l'on perd contact. En perdant contact avec soi-même, on se perd dans le monde.
Le sentiment le plus intime de soi, de son essence, est inséparable du calme intérieur. C'est le JE SUIS, plus profond que le nom et la forme."


Le père Noël m'a offert ce petit livre que j'avais déjà, je l'ai relu avec grand bonheur. En quelques paroles simples et profondes, Eckart Tolle ouvre le rideau sur notre vraie nature!!! S'en imprégner jour après jour...
***

"Le rejet, l'abandon, l'humiliation, la trahison et l'injustice: cinq blessures fondamentales à l'origine de nos maux, qu'ils soient physiques, émotionnels ou mentaux.
Lise Bourbeau, grâce à une description très détaillée de ces blessures, nous mène vers la voie de la guérison.
Car de la compréhension de ces mécanismes, dépend le véritable épanouissement, celui qui nous conduit à être enfin nous-même. Un guide simple et pratique pour transformer tous nos petits problèmes quotidiens en tremplin pour grandir."


Je viens de découvrir ce petit livre paru en pocket, très accessible, très simple, et qui m'a donné pleins de clefs en ce qui concerne les mécanismes qui m'animent. Un petit livre très utile pour aider à VOIR, toujours plus clairement... Sourire

jeudi 1 janvier 2015

Bonne année!


Bonnes résolutions ayurvédiques

J'ai bien aimé, je vous partage cet article d'Eveline Mathelet dans l'Age de Faire et vous invite à vous abonner à ce petit journal bien sympathique et utile...

En 2015, je suis bien décidée de:

- prendre soin de moi, de toutes les (bonnes) manières possibles.

- Passer encore plus de temps dehors, dans la montagne, la campagne, sur les rivières, dans la forêt, pour garder vivante ma connexion à la terre.

- me masser tous les jours, de la tête aux pieds avec une bonne huile bio, chaude et agréable, avant ou après ma douche. Me masser au moins les mains et les pieds, si je n'ai pas respecté ce qui précède.

- manger bon, bio, local, fait maison tous les jours si possible.

- Ne plus faire de restes pour manger de la nourriture toujours fraîche (malgré mon éducation à faire une bonne soupe pour 2 à 3 jours!!!) Donner les restes s'il y en a, au chat, au compost, à la nature.

- marcher 100 pas après chaque repas pour mettre en route la digestion.

- méditer chaque jour quelques minutes et plus si affinités, pour laisser ma conscience me guider vers ce qui est mieux pour moi.

- discerner entre la voix intérieure de l'envie qui me dit d'aller direct et de suite, chercher du chocolat dans le placard et celle de la conscience, qui m'invite juste à accueillir mon envie de chocolat tranquillement, en me disant qu'on verra plus tard.

- abandonner la culpabilité et le stress, chaque fois que je suis quand même allée chercher du chocolat dans le placard.

- laisser tomber les petites maltraitances quotidiennes que je m'inflige par négligence et qui consistent à ne pas faire pipi quand j'en ai l'impulsion, attendre avant de mettre un pull quand j'ai froid, répondre quand même à une sollicitation alors que je suis fatiguée, attendre pour boire alors que j'ai soif... etc...

- diminuer les addictions anodines mais au final perturbantes: le deuxième petit café du matin, le sucre, les mails jusqu'à point d'heure - pour rendre cette chronique dans les temps! - la troisième tartine, la quatrième coupe de champagne.

- faire plus de câlins, à tout va, sans raison, juste pour le plaisir.

- mettre un bouquet ou une fleur fraîche dans ma maison tous les jours.

- allumer une bougie le matin pour le rappeler que la vie est sacrée.


- célébrer la beauté de la montagne, du ciel, des nuages, de la neige chaque fois que je m'en souviens. Me le remémorrer de plus en plus souvent.

- dormir tôt et me réveiller tôt pour profiter de l'énergie du jour qui se lève et de l'univers qui s'éveille.

- laisser la Vie guider mes pas vers les résolutions les plus justes pour moi sans trop m'inquiéter.