Un lieu inspirant pour aider à vivre à partir de cet endroit à l'intérieur de soi où tout est calme, simplicité, joie, amour, liberté, où tout est bienvenu tel quel, dans une respiration, une détente, un sourire... Un lieu où se sentir accueilli (e) et soutenu(e), sur ce chemin de soi au Soi en soi... Un lieu où sourire d'amour...
vendredi 3 juin 2016
Hommage à mes Maîtres les arbres...
Les humains s'intéressent moins aux plantes qu'aux animaux car elles ne leur ressemblent pas. Allez au Muséum, à Paris, voir la grande galerie de l'Evolution, personne n'y parle du végétal. Et pourtant l'homme, c'est 2 mètres carrés de peau et un corps qui rejette du CO2. Un arbre moyen représente, lui, 200 hectares de feuillages qui se nourrissent de l'énergie solaire, absorbent le CO2 et restituent de l'oxygène. Certains arbres sont même immortels s'il ne leur arrive pas d'accident ou de maladie, car, au-delà d'un certain âge, ils se clonent eux-mêmes. Il y a en Tasmanie un houx royal vieux de 43 000 ans, l'époque de Neandertal... que n'importe quel imbécile peut exterminer en un jour avec sa tronçonneuse. Certaines familles d'arbres, celle des baobabs, par exemple, ont aussi un génome dix fois plus important que celui de l'homme, mais nous préférons ignorer que, sur bien des plans, les arbres sont plus évolués que nous. Francis Hallé
Je crois tout à fait que les arbres sont plus évolués que nous. Ils ne tuent pas pour manger, ils absorbent la lumière directement par leurs feuilles, ils boivent de l'eau, ils sont beaux, tranquilles, sages. Ce sont des Maîtres qui nous enseignent par leur présence. Je les aime depuis toute petite, ils m'ont toujours consolée de tout et je leur rends bien. J'adore les prendre dans mes bras. Ce que j'ai fait de mieux dans ma vie, c'est deux enfants et planter des arbres, partout où j'ai vécu. Dans ma nouvelle maison à Dieulefit, je suis entourée d'arbres immenses, peupliers, maronniers, tilleuls, féviers d'Amérique, chênes, noyer... écouter le vent à travers leurs feuilles est un bonheur incroyable qui me transporte... Merci à eux d'être ce qu'ils sont... Pascale
lundi 28 mars 2016
La plus grande découverte d'Albert Einstein
Je
ne résiste pas à l'envie de partager avec vous une lettre envoyée
par Albert Einstein à sa fille Lieserl. Un texte récemment rendu
public, qui se passe de commentaire, je pense. Thierry Jansen
(Psychologies magazine mars 2016)
"Lorsque
j'ai proposé la théorie de la relativité, très peu m'ont compris.
Ce que je vais te révéler maintenant va provoquer l'incompréhension
et les préjugés du monde. Je te demande donc de conserver cette
lettre aussi longtemps que nécessaire, d'attendre des années, des
dizaines d'années, jusqu'à ce que la société soit suffisamment
avancée pour accepter ce que j'explique ci-dessous.
Il
y a une force extrêmement puissante pour laquelle, jusqu'à présent,
la science n'a pas trouvé une explication officielle. C'est une
force qui comprend et régit toutes les autres. Elle est derrière
tout phénomène qui opère dans l'univers. Cette force universelle
est l'Amour. Lorsque les scientifiques étaient à la recherche d'une
théorie unifiée de l'univers, ils ont oublié la plus invisible et
la puis puissante des forces. L'Amour est lumière, il éclaire ceux
qui le donnent et le reçoivent. L'Amour est gravité, il fait que
des personnes sont attirées vers d'autres. L'Amour est puissance, il
démultiplie ce que nous avons de meilleur et permet que l'humanité
ne s'éteigne pas dans son égoïsme aveugle. L'Amour révèle et se
révèle. Par l'Amour, nous vivons et nous mourons. L'Amour est Dieu
et Dieu est Amour. Cette force explique tout et donne son sens
premier à la vie. Il s'agit de la variable que nous avons ignorée
pendant trop longtemps, peut-être parce que l'Amour nous fait peur,
puisque c'est la seule énergie de l'univers que l'homme n'a pas
appris à gérer par sa volonté (...) l'Amour est la force la plus
puissante qui existe, car il n'a pas de limites. Après l'échec de
l'humanité dans l'utilisation et le contrôle des autres forces de
l'univers, qui se sont retournées contre nous, il est urgent que
nous nous nourrissions d'un autre type d'énergie.Si nous voulons que
notre espère survive, si nous voulons trouver un sens à la vie, si
nous voulons sauver le monde et chaque être sensible qui l'habite,
l'Amour est la seule réponse. Peut-être nous ne sommes pas encore
prêts à fabriquer une bombe d'Amour, une machine assez puissante
pour détruire toute la haine, l'égoïsme et la cupidité qui
dévastent la planète. Cependant chaque individu porte à
l'intérieur de lui un petit mais puissant générateur d'Amour dont
l'énergie attend d'être libérée. Lorsque nous aurons appris à
donner et à recevoir cette Energie universelle, nous pourrons
affirmer que l'Amour conquiert tout et est capable de tout
transcender, car l'Amour est la quintessence de la vie.
Je
regrette vivement de ne pas avoir pu exprimer ce qui, dans mon coeur,
a palpité silencieusement pour toi toute ma vie. Il est peut-être
trop tard pour demander pardon, mais comme le temps est relatif, j'ai
besoin de te dire que je t'aime et de te remercier car, grâce à
toi, j'ai trouvé l'ultime réponse."
samedi 27 février 2016
Justesse...
Ce n'est pas la perfection qui importe, c'est la justesse... C Bobin
Bassin de notre nouvelle maison à Dieulefit.
vendredi 26 février 2016
dimanche 31 janvier 2016
samedi 16 janvier 2016
Un hymne à la Vie!
Alice Sommer Herz
https://drive.google.com/file/d/0B2-YLD_ShQYAck1TSkdIVDl5UnM/view?pli=1

Une grande dame, un grand Maître de Vie, à écouter jusqu'au bout! Une amoureuse de la Vie, qui sait de quoi elle parle, survivante des camps de concentration, grâce à la musique et à la joie, et qui a su en tirer une philosophie de vie d'une force!!! Un exemple!
mercredi 6 janvier 2016
lundi 4 janvier 2016
vendredi 1 janvier 2016
Une année toute neuve qui commence...
Reçu d'une amie et ouvert au réveil de ce premier jour de l'an neuf, un beau message pour commencer l'année...
jeudi 31 décembre 2015
Je suis tout ce qui est par Isabelle Padovani
Une petite vidéo pour terminer l'année en beauté,
et en espérant une nouvelle année au plus proche de "qui je suis"...
et quand je dis "je" c'est pour "nous" bien sûr...
Avec toute ma tendresse.
Pascale
https://www.youtube.com/watch?v=gCCrnKs7m7U
et en espérant une nouvelle année au plus proche de "qui je suis"...
et quand je dis "je" c'est pour "nous" bien sûr...
Avec toute ma tendresse.
Pascale
https://www.youtube.com/watch?v=gCCrnKs7m7U
Souvenir de la neige, qui se fait désirer...
mardi 17 novembre 2015
Le chant des libres de Marc Vella
Fidèle à lui-même, le libre ne trahit pas son âme. Quoi qu'il arrive, il aime, sans attente, conscient des miracles que chaque instant lui livre. Il va, souverainement confiant et bienveillant, affranchi du regard des autres, bâtissant, en les magnifiant sans cesse, ses rêves et ses désirs. Responsable de son bonheur, il n'attend pas le printemps pour s'ouvrir à la vie et être heureux, il est le printemps...
Ce petit livre est une invitation à l'émerveillement perpétuel, un rendez-vous avec l'abandon menant à l'abondance.
Il est un hymne à la joie, un appel à lâcher prise avec un monde qui a emprisonné l'amour et laissé la peur en liberté.
Un très beau petit livre, avec des calligraphies magnifiques de Bernard Camus et un texte non moins magnifique. Je l'ai découvert par hasard, (le hasard c'est la main de Dieu posée sur notre main, comme dirait Christian Bobin et j'y crois dur comme fer!), sur une étagère de ma librairie préférée, la Librairie des Arts à Annecy.
Extraits:
A ceux qui aiment aimer, tout est révélé.
Oui, soyons amour avec tout, car tout est dans tout, rien n'est séparé.
Des ténèbres à la lumière, tout est sacré.
samedi 14 novembre 2015
mardi 15 septembre 2015
Le bonheur...
Le
bonheur ne se trouve pas
avec
beaucoup d'effort et de volonté
mais
réside là, tout près,
dans
la détente et l'abandon.
Ne
t'inquiète pas, il n'y a rien à faire.
-
Tout
ce qui s'élève dans l'esprit
n'a
aucune importance
parce
que n'a aucune réalité.
-
Ne
t'y attache pas.
Ne
te juge pas.
-
Laisse
le jeu se faire tout seul,
s'élever
et retomber, sans rien changer,
et
tout s'évanouit et recommence à nouveau sans cesse.
-
Seule
cette recherche du bonheur nous empêche de le voir.
-
C'est
comme un arc-en-ciel
qu'on
poursuit sans jamais le rattraper.
Parce
qu'il n'existe pas, qu'il a toujours été là
et
t'accompagne à chaque instant.
-
Ne
crois pas à la réalité des expériences bonnes ou mauvaises,
elles
sont comme des arc-en-ciel.
-
A
vouloir saisir l'insaisissable, on s'épuise en vain.
Dès
lors qu'on relâche cette saisie,
l'espace
est là, ouvert, hospitalier et confortable.
-
Alors
profites-en. Tout est à toi, déjà.
-
Ne
cherche plus.
Ne
va pas chercher dans la jungle inextricable
l'éléphant
qui est tranquillement à la maison.
-
Rien
à faire
Rien
à forcer
Rien
à vouloir
Et
tout se fait tout seul.
Lama
Guendune Rinpoché
vendredi 4 septembre 2015
La spiritualité c'est l'indépendance par Swami Prajnanpad
La spiritualité c'est un autre nom pour l'indépendance.
Dépendre de quelqu'un ou de quelque chose c'est s'éloigner du bonheur. Quand vous êtes dans un état de dépendance, vos mouvements sont limités, vous restez confinés dans un espace étroit. Si vous êtes esclaves de vos désirs, vous ne pouvez pas être heureux et libres. Votre bonheur dépend de la satisfaction de vos désirs, ce qui est souvent impossible et vous fait souffrir. Mais si vous êtes maître de vos désirs, vous pouvez les satisfaire quand c'est possible, les réfréner s'il n'y a pas de possibilité de les satisfaire, et ainsi vous serez heureux.
La spiritualité est une attitude d'esprit, ne dépendre que de soi, c'est cela la spiritualité.
Essayez de voir et de sentir ce qui est et non d'attendre que les choses soient comme vous aimeriez qu'elles soient. Cette attente est la tragédie de la vie humaine.
(Extrait de l'émission des Racines du Ciel du 25 mai 2010 avec Arnaud Desjardins)
L'émission à écouter:
http://www.franceculture.fr/emission-les-racines-du-ciel-la-transformation-de-soi-avec-arnaud-desjardins-rediffusion-de-l-emissi
Dépendre de quelqu'un ou de quelque chose c'est s'éloigner du bonheur. Quand vous êtes dans un état de dépendance, vos mouvements sont limités, vous restez confinés dans un espace étroit. Si vous êtes esclaves de vos désirs, vous ne pouvez pas être heureux et libres. Votre bonheur dépend de la satisfaction de vos désirs, ce qui est souvent impossible et vous fait souffrir. Mais si vous êtes maître de vos désirs, vous pouvez les satisfaire quand c'est possible, les réfréner s'il n'y a pas de possibilité de les satisfaire, et ainsi vous serez heureux.
La spiritualité est une attitude d'esprit, ne dépendre que de soi, c'est cela la spiritualité.
Essayez de voir et de sentir ce qui est et non d'attendre que les choses soient comme vous aimeriez qu'elles soient. Cette attente est la tragédie de la vie humaine.
(Extrait de l'émission des Racines du Ciel du 25 mai 2010 avec Arnaud Desjardins)
L'émission à écouter:
http://www.franceculture.fr/emission-les-racines-du-ciel-la-transformation-de-soi-avec-arnaud-desjardins-rediffusion-de-l-emissi
dimanche 10 mai 2015
Ombre et lumière...
Au
lieu d'accompagner mes aînés sur le chemin de la révolte, la
sagesse me conseille de m'en remettre pour toujours à un pays. De
lui, d'une maison, d'un cimetière reconnu chaque matin derrière une
fenêtre, d'une tour, d'un clocher, d'une perspective, je reçu le
droit de vivre sans nourrir de vaines espérances. Alors qu'enfant je
désespérais de voir s'évanouir l'été, j'accueillis, jeune fille,
toutes les saisons avec une égalité d'humeur qui étonna mon
entourage. Les orages et les tempêtes, après m'avoir effrayée, me
devinrent aussi nécessaires que le calme des belles journées ;
leur violence apaisait la mienne.
Un
jour de promenade, alors que j'observais la nature autour de moi, le
jeu de l'ombre et de la lumière me renvoya à celui du bien et du
mal. Où se disait l'un, où se déclarait l'autre ? Qui
connaissait les règles de ce jeu-là ? Dès lors, je me méfiais
des gens vertueux, de leurs bontés, de leurs services. Comme la mère
qui protège l'enfant disgracié, je me rapprochai du mal auquel je
trouvais des excuses et une utilité ; celle de mettre en valeur
le bien. Il m'arriva même de le préférer au bien ou à ce qu'on me
présentait comme tel. Le sentier qui menait à ma vérité, n'était
pas droit, et ce n'étais pas dans les livres de théologie de mon
père que je trouverais la réponse aux questions qui se posaient en
moi. Je ne pouvais me fier qu'à ma bonne volonté et à mes
réflexions...
« Notre
séjour à Bruxelles n'aura servi à rien ! Dit Charlotte.
Je
ne suis pas de cet avis. Il aura servi à nous prouver qu'il n'y a de
salut qu'en nous. La paix, l'espérance et la joie sont en toi,
Charlotte, nulle part ailleurs ».
Emily
Bronté
Drôme provençale en avril
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